Commentaires
Bonjour, je me permets d'écrire sur votre mur aujourd'hui car je suis à la RECHERCHE DE PERSONNES SOUFFRANT DE BRONCHECTASIE ou dilatation des bronches dans le cadre de mon travail.
Je suis TRADUCTRICE dans le domaine médical. Je traduis en particulier des documents concernant des études cliniques et, en ce moment c'est un QUESTIONNAIRE SUR LES SYMPTÔMES de la bronchectasie.
J'ai besoin de 5 PERSONNES à qui je soumettrai le questionnaire traduit pour qu'il me donne leur avis sur sa pertinence et sa clarté. Cela se fait par ENTRETIEN TÉLÉPHONIQUE et la procédure est ANONYME et totalement CONFIDENTIELLE.
Une petite RÉMUNÉRATION est aussi prévue pour les malades afin de les remercier pour le temps qu'ils m'auront consacré.
N'hésitez pas à me contacter sur CETTE PAGE ou en MESSAGE PRIVÉ si cela vous intéresse. Ma demande est assez URGENTE puisque je dois commencer les entretiens la semaine prochaine.
Merci d'avance aux personnes qui voudront bien me contacter pour faire avancer la recherche !
Bonjour, QUI NE VEUT PAS QUE LES BPCOs SOIENT SOIGNES? C'EST VOUS ! NOUS NE SOMMES PLUS CONSIDERES COMME MALADES SEVERES, PLUS SUR LA LISTE DE DECRET C' EST VOUS QUI RENVOYEZ LES MALADES AU BOULOT. MA MAMAN A COTISE PLUS DE TRENTE ANS CHEZ VOUS MAIS RIEN NE CE PASSE. VOUS FAITES QUOI AVEC LES COLLECTES ?
bonjour à tous, savez vous ce qu'est la BPCO : atteinte de cette maladie depuis plus de 20 ans associée à un asthme sévère et un emphysème, je suis contrainte grâce a votre mauvaise représentativité de retourner en service public alors que jusqu’à présent je travaillais en teletravail. dans une zone rouge, l'épidémie bas son plein, tous les jours il y a des cas contacts et avérés et a cause de Vous , je dois retourner le 1 octobre dans le danger, je suis mère de 2 enfants que j'élève seule, VOUS ME RENVOYEZ PAR VOTRE ACTION en plein DANGER. comment se protéger les masques que je ne supporte pas, je suis convaincue que je risquerai ma vie chaque jour en allant travailler. COMMENT AVEZ PU FAIRE CELA, le décret du 31.08.20 ?? A QUOI SERVEZ VOUS ??? VOTRE ROLE c'est NOUS PROTEGER .????? VOUS AURIEZ NOUS DEFENDRE LES TRAVAILLEURS et ne pas vous rendre complice de notre retour en plein épidémie????
Ce n'est pas du souffle mais du vent...
Pompe à fric sur notre dos, au nom de nos pathologies.
Je participe au #N7Challenge ! Et vous? 😊
La recherche n avance pas malgré toutes vos collectes.Apparemment vous ne faites que ça.... vous ne manquez pas d air!!!
Et en France, que fait-on pour les asthmatiques, autistes, hypersensibles aux produits chimiques......., puisqu'on sait qu'un parfum qui contient des molécules de pétrole et autres produits nocifs, est dangereux pour la santé ? (Cf. SOS MCS. org : les substances qui provoquent le MCS)
https://www.facebook.com/O2Cie-urgence-BPCO-376164935820287/?ref=br_tf&epa=SEARCH_BOX
Un départ, encore et encore. La BPCO n'est pas une vulgaire grippe qui vous empêche de mal respirer quelques jours ou un petit symptôme que l'on peut soigner à coup de méthode Coué, comme certains le disent en communiquant sur le dos des patients avec le fameux "lève-toi et respire" ou d’autres poncifs un "peu" décalés... Nous menons un vrai combat, humain et rude car les BPCO étouffent et finissent par ne plus avoir l'envie et la force de vouloir respirer. Il y a quelques mois, on m'avait invité pour répondre publiquement à la question : "Quelle est la situation de la BPCO, des BPCO en général ?" J'avais évoqué plusieurs aspects, dont l'exemple d'un patient au stade qui est le mien comme témoignage de ce que vivent les personnes au niveau le plus avancé de cette affection grave et invalidante. Un malade avec qui j'avais échangé plusieurs fois sur le sujet de l'urgence extrême, de l’urgence à traiter, enfin, comme il se doit, cette maladie. Une urgence que je connais bien tellement je flirte avec elle au quotidien même si à force de « records », je ressemble moins à ce visage mortifère que portent les BPCO. J’ai décidé que ce témoignage serait à la une des o2&Cie ce matin comme je l’avais fait à cette occasion, en le lisant publiquement, pour que tout le monde saisisse bien la difficulté physiologique à laquelle nous devons faire face. Dominique était un fervent acteur du combat que je mène avec mes équipes, il ne sera plus là pour nous soutenir, pour lui c’est fini, il a lâché prise définitivement. Pour nous, le combat continue, il le savait aussi et m’encourageait, comme beaucoup d’autres maintenant, car il s’agit d’une question de survie !
Dominique Bernier… “Les médecins complexent toujours avec la mort. L’admettre pour eux est un échec. La combattre est un devoir. Faut pas baisser les bras. Faut que le gars récupère à tout prix. Tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir, etc. Je ne peux plus parler par manque de souffle et je suis totalement affaibli par cette maladie qui m’use moralement et physiquement parfois il me semble que je glisse inexorablement dans les abimes. Voilà pourquoi je ne veux plus aller à l’hôpital, d'ailleurs j'en sors. Ma vie durant a été de toujours prendre des décisions, qu’on me laisse encore ce petit privilège. J’ai donc préféré rester chez moi, peut-être avec la cortisone et broncho-dilatateurs je vais remonter la pente, mais cette fois je ne l’espère pas, l’agonie a trop duré, j’aimerai en finir au plus tôt. A force d’ingurgiter des cachets, de rester cloué dans mon fauteuil avec un masque sur mon nez, ne plus sortir, essayer de manger car on me dit qu’il faut prendre des forces qui ne reviendront jamais et le kiné qui voudrait que je marche ou danser, pour devenir autonome. La vie est passée, et malgré toutes ses difficultés, je reste lucide. J’ai tellement lutté avec des réhabilitations pendant une dizaine d’années, avec des associations pour la marche et exercices. La maladie inexorablement fait son chemin. Je suis serein, je n’éprouve ni regret, ni peine mais je sais, la fin du tunnel est là. Je m’en irais en paix. La phase d’agonie doit être reconnue et respectée comme une composante de la vie d’une personne. Je vous remercie pour votre soutien dans ces moments difficiles de ma vie. Je suis touché et reconnaissant de l'aide apportée, par tous vos mots d'encouragements qui est le témoignage de notre amitié, sympathie et de solidarité. Bises à vous tous.”
Un départ, encore et encore. La BPCO n'est pas une vulgaire grippe qui vous empêche de mal respirer quelques jours ou un petit symptôme que l'on peut soigner à coup de méthode Coué, comme certains le disent en communiquant sur le dos des patients avec le fameux "lève-toi et respire" ou d’autres poncifs un "peu" décalés... Nous menons un vrai combat, humain et rude car les BPCO étouffent et finissent par ne plus avoir l'envie et la force de vouloir respirer. Il y a quelques mois, on m'avait invité pour répondre publiquement à la question : "Quelle est la situation de la BPCO, des BPCO en général ?" J'avais évoqué plusieurs aspects, dont l'exemple d'un patient au stade qui est le mien comme témoignage de ce que vivent les personnes au niveau le plus avancé de cette affection grave et invalidante. Un malade avec qui j'avais échangé plusieurs fois sur le sujet de l'urgence extrême, de l’urgence à traiter, enfin, comme il se doit, cette maladie. Une urgence que je connais bien tellement je flirte avec elle au quotidien même si à force de « records », je ressemble moins à ce visage mortifère que portent les BPCO. J’ai décidé que ce témoignage serait à la une des o2&Cie ce matin comme je l’avais fait à cette occasion, en le lisant publiquement, pour que tout le monde saisisse bien la difficulté physiologique à laquelle nous devons faire face. Dominique était un fervent acteur du combat que je mène avec mes équipes, il ne sera plus là pour nous soutenir, pour lui c’est fini, il a lâché prise définitivement. Pour nous, le combat continue, il le savait aussi et m’encourageait, comme beaucoup d’autres maintenant, car il s’agit d’une question de survie !
Dominique Bernier… “Les médecins complexent toujours avec la mort. L’admettre pour eux est un échec. La combattre est un devoir. Faut pas baisser les bras. Faut que le gars récupère à tout prix. Tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir, etc. Je ne peux plus parler par manque de souffle et je suis totalement affaibli par cette maladie qui m’use moralement et physiquement parfois il me semble que je glisse inexorablement dans les abîmes. Voilà pourquoi je ne veux plus aller à l’hôpital, d'ailleurs j'en sors. Ma vie durant a été de toujours prendre des décisions, qu’on me laisse encore ce petit privilège. J’ai donc préféré rester chez moi, peut-être avec la cortisone et broncho-dilatateurs je vais remonter la pente, mais cette fois je ne l’espère pas, l’agonie a trop duré, j’aimerai en finir au plus tôt. A force d’ingurgiter des cachets, de rester cloué dans mon fauteuil avec un masque sur mon nez, ne plus sortir, essayer de manger car on me dit qu’il faut prendre des forces qui ne reviendront jamais et le kiné qui voudrait que je marche ou danser, pour devenir autonome. La vie est passée, et malgré toutes ses difficultés, je reste lucide. J’ai tellement lutté avec des réhabilitations pendant une dizaine d’années, avec des associations pour la marche et exercices. La maladie inexorablement fait son chemin. Je suis serein, je n’éprouve ni regret, ni peine mais je sais, la fin du tunnel est là. Je m’en irais en paix. La phase d’agonie doit être reconnue et respectée comme une composante de la vie d’une personne. Je vous remercie pour votre soutien dans ces moments difficiles de ma vie. Je suis touché et reconnaissant de l'aide apportée, par tous vos mots d'encouragements qui est le témoignage de notre amitié, sympathie et de solidarité. Bises à vous tous.”
Bonjour,
Pépite Sexiste vous a interpellé sur un flyer publié par vos soins... pourriez-vous leur répondre svp ? Merci.